Belles et Bum souffle sa première bougie
L’établissement n'a pas raté sa seconde chance. Le couple est parti de zéro en juin 2016 et dit être rendu où il le souhaitait. « Même après 25 ans dans le domaine, j'apprends encore. La dernière année a été riche sur le plan des apprentissages. Sans la confiance des fournisseurs locaux, l’histoire n’aurait pas été la même », dit le copropriétaire.
En un an, le nombre d'employés est passé de 1 à 12. L’établissement a aussi commencé à offrir des dîners et une terrasse de 35 places assises s’est ajoutée. « Le visage du complexe n’est plus le même depuis ces travaux », souligne Érick Tremblay.
La relance de Belles et Bum s'est effectuée alors qu’un nouveau joueur offrant sensiblement le même produit ouvrait au Casino de Charlevoix. « Je ne suis pas contre le St-Hubert. Son ouverture a créé une pression additionnelle sur la main d'œuvre. C’est difficile d’égaler les salaires offerts par cet établissement », soutient Érick Tremblay.
Le couple n’a aucune difficulté à travailler ensemble parce qu’il « ne travaille pas ensemble », rigole Érick Tremblay. Plus sérieusement, il explique que « chacun à son expertise. C’est ce qui fait la clé du succès ».
Belles et Bum a dignement souligné son premier anniversaire vendredi dernier. Françoix Simard s’est chargé de l’animation musicale.