C’est ce que Chantal Simard a expliqué lors d’un point de presse visant à faire le point sur la demande adressée au ministère de la Santé et des Services sociaux. « C’est un équipement de base », dit la docteure ajoutant « que l’hôpital de Portneuf, à 45 minutes de Québec, qui offre moins de services que celui de Baie-Saint-Paul, aura le sien ».

La Fondation de l’hôpital a les moyens de défrayer cette acquisition. Une campagne populaire n’est pas écartée. « La Ville de Baie-Saint-Paul pourrait contribuer, a indiqué le maire Jean Fortin qui croit que le dossier « est bien engagé auprès du ministère de la Santé et des Services sociaux».

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Il n’y a pas encore de TACO à l’hôpital de Baie-Saint-Paul parce que le plan clinique ne le prévoyait pas. « Il n’est pas nécessaire de le rouvrir parce qu’en 9 ans bien des choses ont changé », a mentionné Chantale Simard.

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L’acquisition d’un TACO se chiffre à 600 000$ et les frais d’exploitation annuels atteignent 120 000$. Une évaluation très conservatrice situe les frais pour les déplacements uniquement pour les examens à La Malbaie à 115 000$.

Les chirurgiennes Stéphanie Lapointe et Andrée-Anne Delsemme-Therrien ont expliqué qu’elles sont probablement les deux seules au Québec réaliser des chirurgies dans un hôpital qui n’a pas de TACO.

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Les politiciens et médecins ont indiqué que l’acquisition d’un TACO ne se fait pas contre l’hôpital de La Malbaie.

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