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Petite-Rivière se tourne vers le Groupe Turmel pour son dépanneur

Le règlement sur les compétences municipales ne lui permet pas de s’impliquer dans la gestion d’un tel établissement. Une coopérative ou un organisme à but non-lucratif le pourrait. « On recherche une solution avantageuse », insiste le maire Gérald Maltais.

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Une rencontre est prévue cette semaine avec le Groupe Turmel qui a lancé des stations-services ailleurs au Québec. Le groupe se concentre sur les municipalités sans services et comptent s’implanter dans 7 municipalités du Québec en 2018. La rencontre se tiendrait mercredi avec le directeur du groupe y présentera les conditions d’éligibilité pour Petite-Rivière. Ce genre d’installation ne nécessiterait pas d’employés.

L’implantation d’un service de dépanneur n’est pas encore avancée. La municipalité veut sensibiliser les grossistes à en ouvrir un sur son territoire. L’opération du dépanneur par la municipalité mènerait à un déficit de 73 000$ selon le conseil.

Stéphane Côté, propriétaire de la bâtisse de l’ancien dépanneur, répète avoir offert de donner cette dernière à la municipalité pour trouver une solution à coût nul. Il déplore le manque de communication et rejette le scénario avancé.

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Il juge que de séparer l’alimentation de la vente d’essence est une erreur. Le maire convient qu’il sera difficile d’opérer cet hiver et que cela « fera mal à Petite-Rivière en terme de visibilité ».