G7 : Aucune retombée économique dans la région selon un expert
En entrevue à Radio-Canada, l’homme explique qu’un événement génère des retombées lorsque des personnes venues d’ailleurs injectent de l’argent dans l’économie.
Paul Arseneault prend en exemple le Grand-Prix de Montréal, alors que la compétition attire dans la métropole, un nombre important de touristes qui dépensent des sommes considérables dans les hôtels et les restaurants de la région.
Or, pour le sommet du G7 c’est le fédéral qui assume les coûts, on le rappelle, à la hauteur de 600 millions de dollars.